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:: Après Construction


Rappel: ces faits se sont déroulés de 1999 à 2004

Mon mari part au commissariat porter
plainte contre le chef de centre de Pavillons sous Bois pour tentative d'escroquerie et d'extorsion de fonds, plainte non retenue par le commissariat qui nous renvoie vers le tribunal.

15 jours après la réception, nous recevons par courrier le
Consuel, il faut savoir que sans Consuel, EDF ne peut pas alimenter votre maison en électricité, merci COFIDIM.

Nous envoyons en recommandé à tous les protagonistes (COFIDIM et assurances) un recommandé avec les réserves constatées en relatant la réception.

La réponse ou devrions nous dire la
menace de COFIDIM ne se fait pas attendre, accompagné d'un décompte dans lequel, ce n'est pas COFIDIM qui nous doit des indemnités de retard mais nous qui avions 248 jours de retard de paiement, retard qui bien évidemment ne nous avait jamais été signalé et qui au contraire provenait d'appels de fonds anticipés et constatés par huissier. C'est comme cela que COFIDIM communique. Nous répondons que cette menace ne nous fait pas peur et qu'il peuvent nous attaquer, et la miracle, COFIDIM reconnaît la réception. Ce qui est étonnant est que nous avions écrit à Le Mans Caution (filiale de MMA, vous savez zéro blabla, zéro tracas), ce courrier est renvoyé à CEGERIS qui est mandaté par LMC pour la garantie de livraison à prix et délais convenus, et donc CEGERIS nous adresse un courrier dans lequel ils ne peuvent pas mettre en demeure COFIDIM de faire lever les réserves car ma réception n'est pas valable, pas de chance COFIDIM avait reconnu cette dernière quelques jours auparavant. Et donc CEGERIS demande à COFIDIM ce qu'il fallait faire. C'est étrange car nous pensions naïvement que les garants nous "protégeaient". De plus, dans ce courrier, il est stipulé que l'AAMOI, association à laquelle nous venions d'adhérer (à cette date, 165 adhérents 130 ont eu ou ont des problèmes avec COFIDIM) ne nous donnait que des mauvais conseils.

Encore un exemple de la qualité de CEGERIS, nous leur demandons de faire le nécessaire suite à la défaillance de COFIDIM, et que nous répond son excellent service juridique: "COFIDIM n'est pas défaillant, il n'a pas déposé le bilan", on a envie de renvoyer ces juristes à leurs études car la défaillance d'un constructeur s'entend au sens large, c'est à dire également,dès qu'il ne respecte pas les délais ou / et le prix convenus.

Après entre octobre 2001 et mai 2002 beaucoup de blabla et toujours autant de tracas. En mai 2002, donc des réserves sont levés du fait du responsable marketing de COFIDIM.

En juillet, mon mari signe un protocole avec lui, protocole que je réfute, dans le but de solder les comptes avec COFIDIM et le responsable marketing s'engage à faire lever les dernières réserves en septembre, mi septembre, nous envoyons un recommandé au PDG relatif à ces réserves, à ce jour comme d'habitude, silence radio. Etant donné que COFIDIM continue de se moquer de nous, que le contrat de construction a été signé par mon mari et moi, j'ai décidé de raconter notre histoire.

Depuis mi septembre CEGERIS détient 60% du capital de COFIDIM, ce qui fait que si COFIDIM ne tient pas ses engagements, vous devrez demander à l'actionnaire principal de COFIDIM de se substituer à COFIDIM, C'est du Kafka.