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:: Construction

Rappel: ces faits se sont déroulés de 1999 à 2004

Quand, mon mari et moi avons voulu faire construire, nous voulions un constructeur ayant de bonnes assurances et faisant partie de l'UNCMI (Union Nationale de Constructeurs de Maisons Individuelles) et donc le choix s'est porté sur COFIDIM, un des 1ers constructeurs d'île de France, détenant les marques: MDC, Maisons Sésame, Pavillon Français ainsi qu' Elyance.

Tout à commencé le 16 juin 1999, quand nous avons reçu, mon mari et moi, le commercial de Maisons SESAME du groupe COFIDIM. Ce jour là, après plus de 3 heures de discussion, nous avons fini par signer un contrat,le commercial nous a promis la bouteille de champagne pour la livraison de notre maison. A défaut de boire le champagne, nous avons plutôt trinqué. Il faut que toutes les personnes voulant faire construire leur maison prennent bien garde au constructeur qu'ils choisissent, car ils risquent de le regretter toute leur vie.

Nous tenons à préciser que les documents et les photos présentes sur ce site ne comportent aucun montage et que seuls le nom des personnes ont été masqués, mais nous sommes bien évidemment à votre disposition pour vous les préciser.



Ouverture du chantier (DROC) 16 mars 2000, durée de construction 10 mois (soit livraison le 16 janvier 2001), il faut savoir qu'un permis modificatif (demandé en février par nous) a été déposé par COFIDIM, tardivement, évidemment, COFIDIM a essayé de nous faire "avaler" le début du retard de construction à cause de cette modification, seulement, pas de chance pour eux, l'avenant relatif à cet agrandissement ne mentionnait aucun retard. Voici le calendrier de construction pour une maison construite par le n°1 d'Ile de France de l'époque, nous n'osons pas imaginer ce que font les autres.

Il faut que vous sachiez que TOUS les
appels de fonds, y compris celui de la réception, que nous avons reçus demandaient le paiement DES RECEPTION et au plus tard DANS UN DELAI de 15 jours, alors que la commission des clauses abusives est très claire sur ce point, les contrats ne doivent pas prévoir un délai INFERIEUR à 15 jours, cela change tout. Imaginez pour la réception, cela arrange bien COFIDIM, ils envoient l'appel de fonds à régler tout de suite, tant pis pour le client qui émettra des réserves et qui n'aura plus la possibilité de mettre sous séquestre les 5% s'y référant.....

Fin mars 2000: Coulage des fondations

Fin mai 2000: Le commercial de COFIDIM demande à son patron pourquoi le chantier n'avance pas JAMAIS DE REPONSE

Mi juin - début juillet 2000: Elévation des murs, le problème est que la maison de notre voisine est collée à la nôtre, alors que quelques mois avant, nous avions dit que nous ne signerions le contrat de construction que si notre maison était indépendante, les commerciaux nous l'avaient maintes fois confirmé oralement. N'ayant pas trop confiance, nous leur avons demandé un plan de masse du lotissement et bien sûr notre maison n'est pas collée à celle des voisins. Encore un mensonge. (TROMPERIE VOLONTAIRE = DOL = PENAL)

Mi juillet - mi octobre 2000: Malgré des dizaines de courriers, fax et coups de téléphone au siège et centre de travaux de Pavillons Sous Bois (93), il faut savoir que dans ce centre, on a beau téléphoner, ils ne répondent jamais et lorsque l'on a de la chance de pouvoir laisser un message au secrétariat, ils ne daignent jamais vous rappeler. Encore mieux, quand nous appelions le conducteur de travaux, sur son mobile professionnel, il ne répondait jamais, nous rappelions sur son mobile personnel, et là pas de problème, il décrochait, et nous demandait de le rappeler sur son mobile professionnel et la rebelote, aucune réponse. C'est un exemple criant de vérité de la manière dont COFIDIM nous a traité et en a traité d'autres, et nous ferons tout ce qu'il faut pour qu'ils arrêtent de faire souffrir des personnes qui s'endettent pour la vie, pour concrétiser un rêve et qui, comme nous se sont retrouvés à la rue et en dépression nerveuse avec deux jeunes enfants.

Mi octobre 2000: 2 jours de travail de maçonnerie

Début décembre 2000: Nous contactons ICD qui était sensé garantir une livraison à prix et délais convenu, pas de chance cet organisme est en redressement judiciaire; et chose bizarre COFIDIM ne nous fera parvenir une nouvelle attestation d'assurance que le 17 septembre 2001, la nouvelle attestation dit que Le Mans Caution est notre nouveau garant, seulement cette attestation est datée du 7 septembre 2001, jour de notre réception que nous relaterons un peu plus tard.

Mi décembre 2000: Suite à nos menaces de procédures judiciaires, le commercial, le chef de centre et le conducteur de travaux sont sur le chantier avec des maçons, et nous narguent, "vous pouvez nous attaquer en justice, nous n'avons pas peur". Résumé 1 jour de travail.

Mi janvier - début février 2001: La charpente et les tuiles sont livrées, et bizarrement la charpente est posée et ensuite des maçons sont revenus sur le chantier pour que les pignons coïncident avec la charpente, nous sommes vraiment naïfs, nous pensions que c'était la charpente qui devait correspondre "pile-poil" aux pignons, c'est vrai que les professionnels ce sont eux.

Fin février 2001 hors d'air: Enfin presque puisque jusqu'à fin juin, la porte de garage n'était retenue que par un tasseau.

De mars à juillet 2001: Le chantier avance à la manière dont COFIDIM est coutumier, c'est à dire une semaine de travaux et 1 mois d'abandon de chantier (constaté par huissier).

Le 7 septembre 2001: Enfin le grand jour :RECEPTION. Nous attendions ce jour depuis + de 2 ans. Il faut savoir que COFIDIM ne nous a pas convoqué par recommandé 8 jours avant cette date comme les dispositions contractuelles le demandent. Mon époux se présente avec un huissier, la visite de réception ne se passe pas trop mal, au moment de signer le procès verbal de réception, les choses se gâtent, le chef de centre lui demande de payer la totalité des fonds dus contractuellement, mon mari lui répond qu'il leur a fourni un décompte reprenant les indemnités de retard, à cet instant le chef de centre se braque: pas de chèque, pas de clés, donc pas de réception, et bien sûr pas de Consuel, l'huissier constate le tout, et mon mari reste dans la maison. Le personnel de COFIDIM finit par partir.