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:: Levée de Réserves

Rappel: ces faits se sont déroulés de 1999 à 2004

12 septembre 2002: un dernier recommandé envoyé au PDG de COFIDIM pour qu'il fasse le nécessaire pour faire lever les réserves restantes.
AUCUNE REPONSE

12 octobre 2002: recommandé envoyé au patron de Le Mans Caution pour que pour une fois dans mon cas, il prenne ses responsabilités et fasse lever les réserves, car c'est lui le garant.

23 octobre 2002: Nous relançons un peu sèchement le secrétariat du patron de Le Mans Caution, et coïncidence, quelques heures plus tard, notre conducteur de travaux appelle mon mari et demande quand un maçon pouvait intervenir pour lever les réserves, et que auparavant à deux reprises un maçon était passé mais que nous étions absents???? C'est vrai que si nous devons rester cloîtrer chez nous jusqu'à la levée totale des réserves, nous ne sommes pas prêts de voir la lumière du jour. Les plannings de travaux ne sont pas choses courantes chez COFIDIM. Un rendez vous est pris pour le 30 octobre.

29 octobre 2002: Nous avons décidé de taper plus haut, nous adressons un mail à la direction de MMA pour leur décrire la manière d'agir du patron de leur filiale LMC. et leur dire ce que nous en pensons.

30 octobre 2002: Le maçon vient à cette date et demande ce qu'il doit faire, COFIDIM ne l'a pas mis au courant. Il permet de faire lever 2 réserves (presque entièrement, à part de la ferraille qui sort du mur) qui devaient l'être depuis plus d'un an, par contre pour le crépi il n'était pas au courant (lors du ravalement un pan de mur avait été oublié, et COFIDIM avait dit, ne vous inquiétez pas, le maçon fera tout le même jour). Pas de chance.

Même jour réponse de MMA : "Nous faisons suivre votre réclamation au président de Le Mans Caution, lui seul est habilité à vous répondre".C'est dingue, nous nous plaignons à la maison mère des procédés du patron d'une de leur filiale, tout ce qu'elle trouve à dire c'est nous transmettons à la personne dont vous vous plaigniez. Nous renvoyons un message en disant que cette réponse ne nous convenait pas, et que nous attendions mieux de leur part.

31 octobre 2002: Réponse, je dirais laconique et sibylline de MMA," Nous vous remercions de votre témoignage". Si ce n'est pas du foutage de gueule çà y ressemble énormément. C'est quoi déjà leur slogan: "zéro blabla, zéro tracas", cela ressemble à s'y méprendre, dans ce cas précis à de la publicité mensongère.

4 novembre 2002: Fax envoyé au conducteur de travaux avec les réserves restant à faire lever.

5 novembre 2002: Nous relançons par téléphone le patron de Le Mans Caution. Une femme filtre tous les appels et répond le pipeau habituel, "nous nous occupons de beaucoup de dossiers, donc on ne peut pas tous les traiter en même temps. C'est vrai que pour notre dossier depuis le début LE MANS CAUTION rime avec INACTION. A chaque fois que nous leur avons de faire avancer les travaux, ils nous renvoyaient vers CEGERIS, qui faisait suivre notre courrier à COFIDIM. Alors que le garant doit mettre en demeure le constructeur de tout manquement par voie d'huissier.

6 novembre 2002: Coup de téléphone de notre centre de travaux qui planifie un rendez vous pour le 8 avec des sous traitants pour crépir le pan de mur.

8 novembre 2002: 2 Personnes viennent, pas de chance, ils n'étaient pas équipés pour cette tâche. On peut noter l'extrême compétence du centre de travaux de Pavillons sous Bois qui envoie à 2 reprises des équipes qui ne savaient pas ce qu'elles avaient à faire.

Même jour nous adressons un fax au centre de travaux indiquant que le RDV du matin n'avait servi à rien, et qu'il fallait nous adresser un planning par courrier, nous adressons copie au président de CEGERIS/COFIDIM ainsi qu'au président de LE MANS CAUTION. Nous demandons également à ce dernier le constat d'huissier, prouvant la mise en demeure de COFIDIM d'assumer ses responsabilités.

Même jour Enfin courrier de LE MANS CAUTION, (qui en fait n'est pas une réponse) ou il est dit qu'il faut que nous soyons patients, et qu'il faut éviter la faillite du groupe, etc... C'est vrai que notre réception ne date que de 14 mois et le travail à fournir est d'une journée au plus tard. Le pire de tout est qu'il indique que le Président de l'AAMOI peut me confirmer les efforts que LE MANS CAUTION déploie pour sauver COFIDIM. Ce qui nous appelle quelques commentaires:

- Je me fous du sauvetage de COFIDIM. Ils n'avaient qu'à se réveiller plus tôt. Qui s'est moqué de nous, nous a maintes fois tourné en bourrique, nous a menti, nous a menacé, qui m'a sauvé de ma dépression nerveuse, de nos loyers payés suite au retard de livraison et de toutes les galères survenues par leur faute depuis la signature de notre contrat? Si COFIDIM continue à agir de la sorte, nous préférons les voir fermer que mettre des dizaines de familles en précarité (dépression, divorce et autre surendettement).

- Pourquoi est mentionnée l'AAMOI alors que notre courrier est un courrier qui n'a signalé d'aucune manière que ce soit cette association, pour se dédouaner?

- Ce courrier ne répond pas à
notre recommandé du 12 octobre mais à un mail de plainte que nous avions adressé aux MMA.

Toujours même jour: En fin d'après midi, le conducteur de travaux nous téléphone pour planifier des interventions, nous lui répondons que nous n'accepterions plus qu'un planning écrit.

15 novembre 2002: Nos fax hebdomadaires partent à l'attention du CT, de la direction de COFIDIM, de la direction de LMC et de la direction de MMA. Ces fax leur rappellent leur responsabilités Etonnamment le conducteur de travaux m'appelle au téléphone dans la foulée (il a perdu le numéro de portable de mon mari, pas de chance) pour prévoir une intervention le 20 novembre, je lui dit OK seulement si vous nous adresser un courrier. Pas de problème est la réponse habituelle.

19 novembre 2002: Mon mari téléphone au conducteur de travaux en lui disant que nous n'avions pas reçu de courrier , réponse: " C'est étrange, j'ai écris le courrier samedi dernier". Après 2 coups de téléphone anonyme (dès que je disais allo, ça raccrochait), nous recevons un télégramme téléphoné à 19H30 pour confirmer le RDV du lendemain 8H30. Pourquoi COFIDIM confirmerait un courrier que nous aurions du recevoir en RAR par un télégramme? tout simplement parce que ce courrier n'était pas parti assez tôt. Dès réception du télégramme, un SMS est adressé au conducteur de travaux pour refuser ce RDV forcé; Le CT rappelle mon mari, et pendant plus de 2 heures, ils parlent de l'AAMOI, de notre contrat de choses dont nous ne parlerons pas ici (enregistrées sur bandes) et qui risquent de leur coûter très cher. Bref un RDV est pris pour le lundi 25 novembre au matin, toujours à condition de recevoir un courrier.

21 novembre 2002: Enfin le recommandé pour le RDV de la veille arrive, la poste deviendrait elle aussi rapide que COFIDIM? Plusieurs choses nous interpellent:

- Il est mentionné une conversation téléphonique du 14 novembre, faux le CT m'a téléphoné le 15 suite au fax de mon mari.

- Le plus énervant :"le maçon est déjà intervenu à plusieurs reprises" c'est vrai mais seulement suite à l'incompétence de COFIDIM qui ne l'avait pas renseigné sur les travaux à effectuer.

- Le ravaleur n'a pas pu intervenir car nous lui aurions demandé de réaliser des travaux à notre charge.
ALLEGATION MENSONGERE. C'est ce maçon qui m'a dit: je ne vais pas amener ma machine à crépi pour un pan de mur, par contre je peux revenir et crépir tous les murs qu'il vous reste pour X.

COFIDIM n'a pas dans un courrier à mentir, ils n'ont que le son de cloche de leur sous traitant, et bien sûr quand ça les arrange, COFIDIM les utilise, quand on a pas la preuve de ce que l'on dit il faut se préparer à l'assumer. Dès lecture de ce courrier mensonger, mon mari ce rend au centre de travaux et élève la voix devant toutes les personnes présentes, il leur dit qu'il exige une lettre d'excuses immédiate, et qu'un dossier est fin prêt pour le TGI de Bobigny, etc...

22 novembre 2002: Envoi d'un fax au CT, à la direction de COFIDIM ainsi qu'à CEGERIS pour demander l'explication de ce courrier.

A ce stade, nous pensons et avons assez de preuve que COFIDIM continue de se moquer de nous. Il vont peut être essayer de faire taire mon site, je peux vous assurer que nous les attendons au tournant. La seule façon que des sites comme le mien ne fleurissent plus est de respecter la loi et les clients.

23 novembre 2002: Nous recevons un télégramme téléphoné confirmant le rendez-vous du 25.

25 novembre 2002: Les entreprises interviennent pour lever les dernières réserves (ce qu'à l'époque nous croyions)

26 novembre 2002: Nous recevons le courrier recommandé pour le RDV de la veille. En regardant de plus près les enveloppes des derniers courriers envoyés par notre conducteur de travaux situé à Pavillons sous Bois (93), nous remarquons que les lettres ont été postées de Mitry Mory (77), ce qui peut expliquer pourquoi, les courriers arrivent "après coup". il est indiqué sur ce courrier qu'il ne faut plus appeler la conducteur de travaux sur son portable personnel, il n'a qu'à répondre aux téléphones professionnels!!!

16 décembre 2002: Ils viennent rehausser la souche de cheminée de nos voisins qui arrive en plein sur notre pignon, et donc qui ne respectait pas les DTU en vigueur. (Cela fait + de 2 ans que nous avions prévenu COFIDIM); Il faut désormais qu'il nettoient notre mur.

Même jour: La SMABTP envoie un expert concernant une fissure qui "descend" le long du mur de façade. L'avis de l'expert est clair, cette fissure est due au fait que COFIDIM aurait du appliquer un joint vertical entre notre mur et celui de la maison mitoyenne CQFD.

20 janvier 2003: Un courrier part au conducteur de travaux avec une copie au responsable de la communication expliquant que suite au froid du début de l'année, nous avons remarqué que l'isolation de certaines fenêtres laissaient à désirer, que certains radiateurs ne chauffaient pas correctement que la porte isolante du sous-sol n'avait d'isolante que son nom et qu'il fallait reprendre la fissure en façade.

23 janvier 2003: Nous demandons au secrétariat de demander au CT de nous rappeler.

24 janvier 2003: Nous faisons intervenir EDF/GDF pour établir un "bilan " de consommation, et là nous apprenons entre autres, que les conduites d'eau chaude se trouvant au sous-sol devraient être calorifugées, alors que les nôtres ne le sont bien évidemment pas.

27 janvier 2003: Nous rappelons le centre de travaux et bien sûr, à ce jour toujours pas de réponse.

29 janvier 2003: Nouveau fax au CT rappelant les termes du précédent ainsi que le problème d'isolation du sous sol, seulement nouveauté, la copie de ce fax ainsi que celle du précédent est envoyée au président de COFIDIM, à Le Mans Caution (le garant) ainsi qu'à MMA (la maison mère du garant). Etonnamment le CT nous téléphone dans les 3 minutes suivant l'envoi des fax, ainsi que le président de COFIDIM. Un rendez vous est pris pour le mardi 4 février pour les problèmes constatés. Un petit conseil, si vous faites construire par COFIDIM et que vous avez des problèmes avec votre centre de travaux. Appelez le patron, vous noterez un changement notoire...

4 février 2003: Le CT vient à la maison, inspecte les problème (interrupteur de VMC à changer, isolation des portes d'entrée et d'accès sous-sol à revoir, et isolation des arrivées d'eau chaude, sans oublier la fissure de la façade. Le CT part en promettant de nous rappeler.

25 février 2003: N'ayant aucune nouvelles depuis 3 semaines (chassez le naturel, il revient au galop), nous téléphonons au patron de Cofidim pour lui relater les faits ou plutôt les non faits. Chose étonnante, nous recevons un message, ni par téléphone, ni par télégramme, ni par courrier mais par mail sur ce site, étonnant, donc, nous vous conseillons, en cas de problèmes d'adresser des mails en plus des courriers et autres fax. Chose étonnante, le mail nous est adressé 2 fois car la 1ere fois, le centre de travaux avait omis de mettre en copie le nouveau patron de COFIDIM, par contre l'ancien y était. Cet oubli a été réparé sur le mail suivant. Ce mail nous propose la date du 6 mars pour tout remettre en ordre. N'étant pas disponibles à cette date, nous leur demandons de planifier leurs interventions pour une autre date.

Même jour: Une fissure apparaît sur le mur à côté de la porte d'entrée.

Nous ne mentionnerons pas ici toutes les dates de communications téléphoniques

Vous pouvez revenir sur ce que nous avons vécu
pendant et après la construction de notre maison.